dimanche 4 décembre 2011

Billet d'actualité #2

Ce billet d’actualité va traiter d’un tremblement de terre survenu en Philippines, ayant eut lieu à proximité de l’île principale du pays.

L’épicentre étant localisé à 230 km au nord de Manille, la capitale du pays. Les répercussions ne sont pas très imposantes, car avec la distance parcourue, les vibrations étaient assez faibles pour ne pas causer de dégâts.

Aucune alerte au tsunami n’a par ailleurs été créée, dû à la distance des côtes et la faiblesse des ondes. La zone est cependant sous surveillance, car les autorités s’attendent à d’autres répliques.

Activité sismique enregistré lors du tremblement de terre

Il est à noté que la région de l’Asie du Sud-Est est souvent victime de tremblement de terres à cause de l’intersection de plusieurs plaques, dont la plaque Philippine, qui se déplace vers le nord-ouest.

Billet d'actualité #1

Ce billet d’actualité va traiter de la plus récente activité du volcan Galeras, dans le sud de la Colombie.
L’activité du volcan a fait craindre à l’institut colombien de géologie (Ingeominas) une éruption potentielle. Ils ont lancé une alerte de niveau orange, deuxième niveau sur une échelle de quatre. Une éruption est éminente, ce n’est qu’une question de jours ou de semaine.



Le volcan de la cordillère des Andes est en activité depuis vingt ans, est entré en éruption en 1993, causant neuf morts. Actuellement, ce n’est pas moins de 8 000 personnes qui ont été évacuées.

Il est à noté que les signes que le volcan démontrent était les mêmes qu’il à émis dans les 48 heures précédent sa dernière éruption. L’Ingeominas prévoit que des rejets de centres et de gaz explosifs devraient être effectuées dans quelques heures.

mardi 29 novembre 2011

Déjà décembre qui pointe le bout de son nez, heureusement sans neige. L’heure de faire un compte-rendu de cette cinquième session collégiale est venu.

Premièrement, la session a semblé s’écouler au ralenti. Certains cours sans contenu s’étirent, tandis que d’autres, ayant trop de contenu, se terminent trop rapidement. Il est toutefois temps que cette session se termine pour que puisse débuter l’ultime session de mon cheminement collégial.  La dernière session pointe finalement le bout de son nez.

Néanmoins, l'heure est aux examens de fin de session qui occuperont tout mon temps.

Fin du DEC : MAI 2012

Neuvième billet

Avant la catastrophe, la France était bien vu au niveau mondial. Ce pays est au même niveau que les grandes puissances économiques et politiques du monde, tout en étant chef de file au niveau culturel. État un des principaux pays de l’Europe, les voisins des français étaient en bonne relations avec ce pays. La France participe cependant à la guerre du Kosovo.


Si son importance économique est présente, ce ne sont cependant pas ses ressources naturelles qui sont d’une importance capitale. Les mines sont peu nombres, et le nombre qui sont exploitées sont en baisse marquée. La France sert d’ouverture sur l’Atlantique aux pays à l’intérieur des terres européennes. Son flanc sud qui donne sur la mer Méditerranée lui procure également une très bonne activité.

Le gouvernement français en place était celui de Jacques Chirac. Il s’agit d’un gouvernement élu démocratiquement. Ce type de gouvernement à un impact favorable pour l’économie et la perception du pays à l’international.

Le niveau de vie des habitants de la France est assez élevé.



Suite à la catastrophe, très peu de choses ont changés, vu le volet très unique de l’incident. Le seul changement notable est le plan de revitalisation des forêts, que j’a idéjà parlé dans un billet précédent.

vendredi 18 novembre 2011

La Communication Polluante

Les technologies de communication ne cessent de s’améliorer d’années en années. De plus en plus présentes dans notre quotidien, elles ont une image de légèretés. Les coûts de transport et de transaction sont négligeables. Pourtant, pour qu’un réseau puisse être en fonction, il doit y avoir un ensemble de très nombreux serveur derrière pour le soutenir. Ainsi, l’économie que nous pensons procurer à la planète en utilisant un petit appareil est en fait l’opposé.
En addition, les frais électriques reliés à l’utilisation de tout ce matériel représente entre 3% et 10 % de la consommation totale d’énergie électrique des pays. L’entretien régulier fait également augmenter la consommation.
D’autre part, l’évolution de la technologie crée également une rotation du matériel sur le marché. Le remplacement qui se produit à une vitesse hallucinante cause énormément de pollution sur la planète. Le volume des déchets mondiaux est de 20 à 50 millions de tonnes, et est en constante augmentation annuelle de l’ordre de 3% à 5%. De plus, leur fabrication est très polluante, ce qui fait de ces produits des assassins pour notre planète. Fait augmentant leur impact, peu de compagnies osent recycler les anciens appareils.
Depuis peu, des règlements européens obligent les compagnies à éliminer les produits qu’ils ont créés. Ce principe a été instauré dans le but de recycler la majorité des appareils, et ainsi réduire la dépense énergétique. Cependant, certains pays tel la France traînent encore de la patte. LA seconde directive consiste à interdit l’usage de certains matériaux qui sont considéré comme trop nocif pour l’environnement, tel le mercure et le plomb.
En bout de ligne, les technologies de communication moderne ont créé une augmentation de la consommation de ressources, autant papiers que électriques, ce qui fait de ses utilisateurs des plus grands polluants que par le passé. Le succès commercial passe devant l’environnement lorsqu’il est le temps de faire de l’argent, donc ses faits ne sont pas dévoilés. Les grandes entreprises préfèrent garder le public dans les illusions qu’ils ont créé.


FLIPO, Fabrice (2008). «L’empreinte écologique bien réelle de l’économie immatérielle», L’État du Monde 2009, Montréal, La découverte/Boréal, p.229 à 223.

lundi 14 novembre 2011

Septième billet

La tempête du siècle a créé des attentes suite aux dégâts causés par les vents. Le gouvernement et les équipes d’expert devaient faire face à deux types de désastres : les dégâts au niveau des régions peuplées, ainsi que ceux qui ont été causés à la forêt.  Je concentrerai ce billet sur le volet des mesures prises pour la forêt.

Suite à la destruction des forêts françaises, les gouvernements ont instauré des politiques pour reconstruire la forêt. En fait, deux stratégies ont été adoptées afin de les restaurer. Premièrement, la forêt peut renouveler une certaine fraction de ses pertes naturellement. Le gouvernement a donc décidé de laisser les deux tiers des forêts détruites se régénéré seule. Cependant, le problème qui persistait selon les experts en faune et en flore, c’est que les gibiers se retrouvaient très nombreux pour le peu de végétation qui restait. Il fallait donc faire de la plantation pour ne pas devoir regarder les forêts être dévorées.



Deuxièmement, la régénération des forêts est également calculé au niveau commerciale; selon les technique sylvicoles, les commerçants doivent s’adapté, mais doivent tout de même réussir à conserver un certain rythme de production.

Un plan de revalorisation de la forêt a été créé en 2009 par la France pour s’assurer d’être apte à faire face à une autre éventualité comme celle que provoqua la tempête du siècle.


Mi-Session

Bonjour,

Suite à une moitié de session passée, je crois qu’un résumé de la situation s’impose.

Premièrement, pour ce qui est du cours concerné par ce blog, il est situé là ou il devait l’être selon mes attentes. Le fait que ce cours soit complémentaire à la formation générale, je ne m’attendais pas à devoir passer des heures et des heures pour réussir à suivre la matière. La théorie est bien vue, et elle n’agresse pas les étudiants qui sont dans des domaines très éloignées de celle-ci.

Pour ce qui est du reste des cours qui meublent mon horaire, je n’ai rien à redire. Ce qui me tracasse surtout, c’est le petit jeu de l’association étudiante qui essaie de faire passer sous silence des votes pour les levées de cours. Un petit jeu qui mérite de se faire montrer la porte tant qu’à moi…